C'est dans le silence assourdissant de sa morgue superbe que Jean-Louis Murat appuyé par tous les médias "intellectuels" a sorti sa daube annuelle sous la forme de plusieurs chansons ; le barde à la crinière cendrée et aux gobilles d'azur n'aura pas le droit en 2013 de me pourrir les esgourdes, même pour que je constate l'inanité récurrente de sa production.
Je m'aperçois à la tête de mes classards des affres du passage du temps sur mon visage.
Souffrez que je ne fasse pas grand cas de la chose littéraire et que je m'étonne que l'on s'exalte tant pour elle ; prenez la littérature
qui réfléchit sur elle-même et souffrez encore plus.