1 mai 2013
3
01
/05
/mai
/2013
08:51
En tant que dilettante de la chose travaillée, je me suis toujours senti mal à l'aise face à cet enthousiasme à fêter le travail chaque premier mai ; j'ai conscience de passer à côté de quelque chose, d'une certaine solidarité besogneuse, cependant je ne défile jamais, comme exclu de fait de cette célébration.
Il y a 20 ans, les chiens dévoraient le cadavre de Pierre Bérégovoy que d'aucuns leur avaient offert en pâture.
Plus un type est chauve et laid, plus il se laisse pousser la barbe (ex : Jacques Attali) ; je fais bien attention de garder les joues
glabres.